~ Oh dear, so bad I am | Mezame terminée | [ Grimmjow ]

Invité

Identité ■ ■ ■

■ Nom : Kujo
■ Prénom(s) : Mezame
■ Surnom : Mademoiselle.
■ Âge : 26 ans
■ Poids/Taille : 1mètre soixante dix | 64 kilos
■ Village : Sunagakure no sato
■ Rang : Anbu
■ Nindo : " -Vous savez Kazekage-sama, je vous déteste vraiment. Néanmoins, vous êtes le seul auquel je ne m'opposerai jamais. Dussais-je me damner pour ce..."
■ Affinité : Raiton | Doton | Koton
■ Spécialité : Ninjutsu.
■ Comment avez-vous connu Eiki No Shinobi ? : Partenaria Powa !
■ Code de présentation : Validé by Sasuke

■ ■ ■ Personnalité & Apparence

Dans cette partie, nous vous découvrons un peu mieux. Décrivez les défauts et qualités de votre personnage en 10 lignes chacun minimum..
■ Description physique :

« Pour une ballade autour des sens. »
C’est une fenêtre, une fenêtre ouverte sur le monde. Vos yeux se posent sur une très longue tenture de cheveux noir, un rideau taillé dans la plus douce, la plus pure et la plus chère des soies de Chine. Vos papilles serons émoustillées sans doutes par une correspondance horizontale: l’odeur sucrée et mielleuse qui s’en dégage deviendra un océan de saveurs . Vous entendrez les bruissement du vent qui les fait virevolter a son grés.

C’est pour cette raison que vous vous arrêterez devant cette fenêtre, que vous l’examinerez comme la merveilleuse femme qu’elle est. Il y as la courbe vertigineuse de sa poitrine généreuse au possible et sa chute de rein a damner un saint. Il y a cette senteur si particulière qu’elle dégage: enivrante, au gout si sucré qu’elle vous laissera pantois.

Il y as sa peau si blanche et si laiteuse, douce comme un nuage. Son visage au gout de jeunesse et de beauté, fin symétrique dans les moindre détail ou trônent en maitresses incontestées deux pierres : des Onyx plus profondes et sombres que le plus infini des gouffres, plus incisives que la pire des lames, plus lascives que le démon de stupre, plus brûlantes et menaçantes que la lave en fusion. Des prunelles ou vous vous noierez par ce qu’on ne ressort jamais indemne de pareil regard. Un regard qui -bien que calme et sage-demeure animé d’une rare violence. Des lèvres mutines, nommées désir.

Ô harmonie divine! Corps élancé et bien ancré sur des jambes interminables au gout d’interdit. Harmonie simplement rompue par le ballet sauvage de ses cheveux plus noirs et longs qu’une nuit sans fin que les astres auraient omis d’éclairer. Astres qui brillaient ailleurs , dans l’aura de confiance et de force qu’elle dégage. Votre langue retiendra de cette émanation une forte amertume et le gout âcre de la mélancolie.
■ Description mental :
« Vos gueules et bonjour chez vous. »

Mezame est une femme indépendante, brutale, vulgaire et pleine de verbe. Il est d’ailleurs surprenant de voir a quel point son vocabulaire peu varier. Mais quitte a se focaliser sur Mezame ce que l’on retient n’est pas le meilleur.
Elle semble éternellement blasée et se fiche de tout ce qui se passe autour d’elle. Elle parait souvent totalement déconnectée du reste du monde. Repérable a des mètre a la ronde par l’odeur de ses cigarettes a la cannelle, elle fume sans cesse : pour passer le stress, pour fuir la peur, pour vaincre la mélancolie, par ce qu’elle est heureuse.

Elle grogne, pour donner son approbation ou pour signifier que vous l’ennuyez. Dérangez là sans permission et que vous soyez le Kage en personne ne vous épargnera pas le cheptel d’injures bien sentie dont elle vous assommera. Non contente d’être grossière, Mezame et une femme violente.

Principalement d’un calme platonique ses crises de colères sont de véritables ouragans ou elle se montre emprunte d’une rare férocité, presque impulsive. sur le terrain c’est cette femme la que vous trouverez: enragée, mais terriblement réfléchie et calculatrice, stratège de qualité et guerrière chevronnée.
S’est une femme d’ambition , déterminée est stricte avec elle-même et les autres. Elle attend des autres ce qu’elle attend d’elle.
Même si son manque de respect oral envers ses supérieurs frise l’insubordination Mezame est un femme loyale qui donnerai sa vie pour celle de son Kage.

La jeune femme est doté d’un grand sens des responsabilité et est prête a assumer jusqu’à la pire des conséquences de ses actes sans broncher. Elle acceptera sans fléchir les punitions du moment quelles sont justifiées. Bien sur elle grognera encore, insultera sans doutes beaucoup, mais pliera bravement.

Ancrée dans son code moral qu’elle respecte-malgré un air de laxisme évident- à la lettre. Elle n’attaquera jamais rien qui ne présente pas un danger immédiat.

Elle emmerde la moitié du monde et méprise le reste. Qu’elle dit. Kujo est une femme secrètement soucieuse du bien être des personnes qui l’entourent. Mais en cachette !

Histoire ■ ■ ■

Ici votre histoire en 15 lignes minimum. Racontez nous votre parcours, de votre enfance jusqu'à aujourd'hui, ou bien un moment clé de votre vie....

■ Histoire :
« À nos cendres éparpillées »

|1| Le temps des rires.

Une pièce en trois actes. Ce premier aux reflets d’idylle ne sert pourtant que de prologue a une déchéance des plus fracassantes.
Toutes les histoire ne parlent pas de princesse et commencent pas bien, pas plus qu’elles ne se terminent de la sorte.

Kujo Mezame est la seconde née d’une famille de ninja de la classe la moins recommandable. Elle a vus le jours dans les quartiers mal famé d’Iwagure no sato. Ses parents n’étaient pas riches. Sa mère simple civile travaillait comme serveuse dans un bar, son père n’était pas un grand ninja, pas porteur du gène de ses ancêtres. Son frère ainé avait seize ans a sa naissance et lui-même ninja n’était pas exceptionnel dans le rôle.

Une famille moyenne qui as toujours sus offrir un équilibre a ses enfants. Sa maison n’était pas la plus belle, mais elle était sans doutes la plus chaleureuse qu’elle ai connut a ce jour. Sa mère riait souvent, elle avait pour habitude de dire que le bonheur attirait la chance. Drôle de philosophie qui fit pourtant ses preuves plusieurs années durant.

Mezame avait toujours admiré son frère mais n’avait alors jamais formuler le moindre désir ayant un rapport avec le monde Shinobi. Souriante et gaie s’était pour la musique qu’elle était douée, c’est sans doutes dans ce domaine qu’elle aurai voulut s’épanouir.

Sa Maison de rire s’écoula brutalement en deux ans. Le divorce de ses parents l’années de ses cinq ans marqua la gamine d’une sorte de rancœur a l’égard des rapport entre humains. La maison chaude et gaie s’assombris, malgré les tentatives de sa mère pour ramener le soleil sous leur toit. Un après quoi Kujo Teru, 21 ans décédait des suites d’une mission.

Et alors….

Et alors tout bascula.peu être bien que sa mère était folle, peu être pas. Elle ne sus jamais les raisons exactes de leurs départ d’Iwa pour Suna. Les deux dernier membre de la famille Kujo s’installèrent dans le village caché du désert et recommencèrent une nouvelle vie. Sauf que plus rien n’allait. L’honneur d’une famille ninja se fonde sur la réussite du fils. Fils mort en mission. Alors il as fallut remplacer le frère tomber au combat. A six ans l’enfant Mezame intégrait les rangs de l’académie ninja de Suna.

On eu crus les choses difficiles pour la fillette qui n’avait pas choisis la voix qu’on lui avait imposée. Et pourtant quel talent, mon enfant! Elle a immédiatement compris les systèmes de malaxation du Chakra, elle savait faire circuler en elle son énergie interne et la réguler avant sa deuxième année.
C’est ainsi que les Shinobi du village ont commencé a s’intéresser au cas de la petite « cendrillon du village caché du sable » et qu’ils découvrirent en elle un fait étonnant: l’affinité du clan Kujo qu’on croyait disparue depuis trois génération coulait dans les veine de la fillette.

Elle fut entrainée avec une dureté exemplaire et ne se plaignis jamais que l’entraiment soit trop éprouvant pour son petit corps. L’honneur de sa mère et la mémoire de son frère étaient du jeu et jamais elle ne les ternirait.

Mezame a eu vite fait de comprendre les tenant et aboutissant de son hérédité. Elle a travailler dur pour se développer le plus rapidement possible, et dieu sait qu’elle était douée l’enfant Mezame.

| 2 | les braises de nos rires

Comme le veux le temps qui coule loin de tout élixir de jouvence, l’enfance laissa place a l’adolescence. C’est à l’âge de quatorze ans qu’elle a décidé de pousser ses compétences au niveau médical de la chose. Se fut sans doute la plus longue et douloureuse de sa formation.

Si la jeune femme est rapidement devenue maitresse dans l’art de manier Jutsu et armes il lui as fallut trois ans plein pour maitriser la médecine a un niveau qui soit acceptable. 17 ans. L’âge des premiers amour, des premier chagrin et des première rages.

Dix sept ans c’est aussi l’âge auquel la jeune femme a intégré l’Anbu. Jamais de sa vie elle n’as autant détester ce qu’elle était devenue pour l’honneur que ces années la. Quatre années passée a la recherche de déserteur a massacrer, mener en courre martiale. Quatre années de sang et de violence. Jamais autant de dégout pour sa propre personne.

Par ce qu’as vingt et un ans on est encore un enfant. A vingt et un ans on est encore trop jeune pour vivre de pareilles horreur. Et pourtant, elle ne s’est pas plainte. Pas une seule fois elle n’as protesté. Elle a ragé, vociféré, pestiféré, insulté et craché sur le dos de ses supérieurs, mais a toujours mené a bien ses missions.

Tempête sur son âme et son cœur. Mezame n’était pas la pour protester après tout. Même si la jeune femme s’est toujours laisser le droit d’accomplir les missions comme elle les pensait. De manière juste et droite. Sévèrement réprimandée, a plusieurs reprise elle s’en est toujours sortis de justesse de part son indispensabilité au sein de l’équipe et des forces armées.

Mais pourtant tout dans son corps n’était que regrets et amertume. Son âme foudroyée par la colère et la rage quand a ce qu’elle était devenue. Elle coupa définitivement tout contact avec sa mère. Elle espéra pouvoir abandonner la voix du ninja. Elle se leurra elle-même , mais eu vite fait de toucher terre: la guerre faisait pleinement partie d’elle désormais. Elle ne vivait que pour l’honneur . Alors par tout les moyens….

| 3 | Fushicho no yo ni

Par ce qu’on as toujours le choix entre rester au sol ou se relever. Mezame a décider d’envoyer chier le monde et ses préceptes. Non elle n’était pas une femme bien, ni même distinguée. Mais elle était intelligente et douée pour bon nombre de choses.
Kujo est vite montée en grade pour devenir chef des Anbu poste qui lui a vite valût les honneurs.

Un détermination hors normes l’as hissée tout en haut de l’échelle a l’âge de 23 ans la jeune femme obtint le poste de Garde rapprochée du Kazekage. Ses supérieurs avaient songé a la rendre ainsi plus respectueuses des convention mais Mezame ne cessa pas pour autant de fumer de plus en plus, de répondre et de cracher sur le dos du monde. Son accession a ce poste ne la rendit pas moins crue mais moins amère surement.

Moins amère par ce que persuadée d’agir pour le mieux. Kujo était devenu la providence en quelques sorte, n’est-ce pas ? Celle qui protège. Pas celle qui attaque. Mais toujours aussi sauvage et tempête. C’est pour cette raison qu’elle ne saurait dire ce qui a motivé sa grande affection envers Le Kage. elle ne saurai expliqué pour qu’elle raison elle lui reste loyale. Elle ne le sait pas. Sans doute qu’elle accepte sa vision du monde et qu’elle sait agir pour de bonne raisons.

Elle a 26 ans la belle Mezame, elle a 26 ans et elle renaît a peine de ses cendres…

■ ■ ■ Test RP

Les Administrateurs et Modérateurs vous répondront à la suite de votre message pour vous indiquer le nombre de ligne à faire. Il sera possible sur demande, d'avoir un test RP libre OU en forme de combat contre un membre du Staff. Les tests rp sont impératifs à partir du grade Juunin. Il pourra être fait dans un second post mais suivant ce même model.
■ Test RP :

Suna to yoru no shosetsu

Promue. Elle avait été promue. Une véritable chance pour elle, avait dis sa mère. Ses camarade de promotions l’avaient aussi félicitée: un poste important, s’était le début de la gloire. Les lauriers et puis l’oublis. Elle était là la vérité, les deux allaient de paire. Ce qui l’attendais au bout du chemin: mort et regrets. Des remords a la priver de rédemption. Malgré que sa vie ai pris des airs de liberté enivrante, elle n’était jamais qu’un simulacre d’existence ou elle se leurrait en permanence pour se persuader elle-même qu’elle n’était pas morte; ce n’était pas plus que le début de sa descente au enfers.

Elle regarda encore une fois l’ordonnance qui l’avait faite Anbu et ses prunelles se révulsèrent de dégout. Elle se pencha vers le sable pour vomir. Son avenir, son bonheur, sa chance d’être qui elle était partait en fumé. Il avait suffit de quelques mots sur un bout de papier pour que tout ne disparaisse. Elle voyait enfin que le vent emporte tout et que d’un souffle plus rien n’était. Tout était devenu sombre. Marcher sur un chemin qu’on avait pas choisis était la pire des punitions qu’on pouvait subir.

Il y avait cela et son cœur qui se déchirait entre sa conscience morale et ses désir de femme vendue. Elle ne pouvait pas faire demi tour et entacher l’honneur de sa famille. Elle ne pouvait pas remettre en question dix ans d’une vie éprouvante, il eu fallut être fou pour se faire et Mezame n’était pas de ce bord. Elle ne pouvait pas effacer ce qui avait été fait.

On dit que l’enfance est le canevas de la vie d’un homme, que le reste est brodé sur ce qu’a été son existence durant les dix premières années de sa vie. On peu résumer et expliquer les actes d’une personne en se basant sur cette portion de destin: comment étaient ses parent? Sa famille? Comment était-il? À quoi rêvait-il?
C’est une vérité fracassante, même si elle n’y croyait pas. Pourtant elle était devenue plus prévisible que quiconque. Par ce qu’elle ne reviendrait pas sur ce qu’elle avait fait. C’est pour cette raison que même le plus grand dégout de sa propre personne ne lui ferait pas abandonner la voix ninja. Dut-elle s’en rendre malade pour cela. Un soupir lui échappa: de toutes les manière elle ne pouvait déjà plus se regarder en face.

Et puis la rage s’empara d’elle. Elle qui n’était pas capable de décider seule de ce qu’elle voulait, de ce qu’elle faisait. Incapable de vivre comme elle l’entendait, parfaite poupée de son sous les fils et le joug d’autre qui … Kujo poussa un hurlement féroce. Inutile sans doute mais Ô combien libérateur. Mais même le plus déchirant des cris n’arriverait pas à atténuer sa frustration. Pendant combien de temps allait-on encore se servir d’elle ? Et pendant combien de temps allait-elle encore l’accepter ?

Limpide, claire comme de l’eau de roche la réponse lui apparu. « toute ta vie. ». Toute sa vie elle ne serai que ce que l’enfance avait fait d’elle: Une femme objet qui a défaut d’être heureuse de crever comme une chienne pour le saint honneur de Suna n’avait pas d’autre échappatoire et se jetterai bravement dans la gueule du loup. Comme une idiote.

Elle se mit a rire. Un rire sans joie, un rire fou celui d’un dément qui cède au désespoir et qui accepte ce qui l’attend. Le rire d’une femme brisée. Un rire amer et dégouté. Elle était peu être bien morte après tout. Elle se dressa face au village et dans un éclat :
« -regardes Suna! Regardes! Tu as gagné ! »

Kaori no namida

Les missions du grade d’Anbu n’avaient rien de comparable a ce qu’elle avait vécus jusque la. Il ne s’agissait plus de retrouver quelqu’un mais de traquer une proie, une odieuse chasse a l’homme. Ils n’étaient plu des humains, ni eux ni leurs victimes. Justes des bête sauvage destinées a s’entretuer avec une rage et un violence barbare proche de la perversion. Ils crevaient en chiens. A croire qu’être déserteur enlevait toute forme d’humanité et de respect. S’était répugnant. Les premières fois furent abruptes pour la femme qu’elle était. Abruptes par ce qu’as dix sept ans on refuse de se salir les mains pour des raisons aussi futiles et ridicules que la désertion d’un homme. Par ce qu’as dix sept ans plein est pleins de justice et de révolte.

Pourtant elle n’était pas différente des autres Mezame: elle n’as pas pus y échapper bien longtemps. Il s’appelait Kichi. Kurama Kichi et il avait déserter le village en plein cour d’une mission quelques deux semaines plus tôt.

Leur regard se croisèrent au détour d’un chemin boueux. Mezame ne dirait jamais le contraire, mais le conditionnement des jeunes esprits faisait des miracles. La simple vue de son visage la révulsa et elle attaqua la première.

L »homme se défendait avec ferveur et la toucha de nombreuse fois. La douleur physique aveuglant la jeune femme que la rage affolait déjà. Elle ne sus pas quoi, elle ne sus jamais comment. Katon, Raiton, Doton… tout ce qu’elle connaissait y passa et de Kichi elle ne retrouva que les cendres d’un corps immolé que le vent emporta.

Décembre. Mardi. Neuf heures du matin. Le hurlement déchirant d’une femme qui se déchire de l’intérieur raisonnât dans le désert. Lequel avait toujours absorbé sa colère et son dégout. Mais cette fois s’était un homme qu’elle avait exécuté froidement. Un homme, un vie, une chaleur , une famille…elle avait détruit tout ce qui se rapprochait de cette personne n’est-ce pas? Mais ce ne fus pas cette constations qui la mina le plus. Mais la sensation de travail accomplis qui l’assaillis a ce moment. Pas de regret ou de remords, juste de la satisfaction.

Ou étaient passés ses résolution et son âme d’enfant ? Qu’étaient ses rêves d’enfant devenus? Le vent les avaient soufflé et la vie était une chienne. Un chienne qui venait de l’enchainer une nouvelle fois. Mezame s’enfonçait un peu plus dans le noir.

« -tu devais le ramené vivant, Kujo!
-ta gueule!
- tu dis?
-j’t’ai dis de fermer ta gueule monsieur le chef d’escouade. »

Elle crachat a ses pieds. Elle crachait toute sa haine et son dégout.

Raconte nous ce que ton personnage a ressentie lors de son entrée dans l'ANBU, les dilemmes moraux qu'il a du affronter ainsi que les changements mentales assez radicaux auxquels ton héroine a du faire face après toutes ces escarmouches (A préciser aussi).

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